Les pirates français en Guyane

07/06/2012
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Les Firmes du Vivant, les exploitations V.S les entités collectives et individuelles le développement séparé France/Guyane.
 
En survolant l’épais tapis de verdure du Maroni à l’Oyapock en red-jet nous avions la certitude _confortée par l’intuition qu’éveillent les beautés premières_ que la canopée regorge de richesses inouïes et connues de longue date du Bureau de recherches Géologiques et Minières (BRGM), de l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD), de la Direction Régionale de l’Industrie de la Recherche et de l’Environnement (DIREN), de la Direction Régionale de l’Environnement, la Direction de l’alimentation, de l’agriculture, et de la forêt, du Centre de coopération internationale en recherche agronomiques pour le développement (CIRAD) où pas un seul Guyanais n’a de responsabilité, il en est écarté d’office, il est laissé au rebut. Ces sociétés agissent en violation de l’article 8J de la biodiversité ou bien vont tenter de recourir au sui generis pour priver les peuples autochtones des royalties qui leur reviennent.
 
 
- Marie-Claire Newton, Allédiyo (ambassadeur guyanais du patrimone culturel), (Pierre Carpentier, Servais ALPHONSINE MDES), (Jean-Michel AUPOINT, Raymond CHARLOTTE -OGDH)
https://www.alainet.org/en/node/158568

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